Forum d'Hildrim
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Bienvenue à Hildrim !
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -55%
Coffret d’outils – STANLEY – ...
Voir le deal
21.99 €

 

 Mais qu'est-ce que!?

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Ilixol

Ilixol


Nombre de messages : 173
Age : 35
Date d'inscription : 12/05/2006

Mais qu'est-ce que!? Empty
MessageSujet: Mais qu'est-ce que!?   Mais qu'est-ce que!? Icon_minitimeVen 16 Mar - 17:59

Je voulais mettre ''Début de Roman'' comme titre mais je me suis dit que ça pourrait faire peur comme titre alors j'ai écrit quelque chose de plus attirant. Voila, dans mon cours de production littéraire nous devons créer un texte de 20 pages ( soit des nouvelles ou un début de roman ) et moi j'ai décider d'écrire un début de roman. Enfin, je suis assez content de ce que j'ai écrit, j'ai eu aussi plusieurs commentaires positif alors je post ici pour vous permettre de lire et d'écrire quelques feedbacks! Donc voila le chapitre 1 (J'ai débuté le 2ième mais j'ai des trucs à corriger. À notez qu'il y a encore des incongruences mais bon, pour le moment c'est ça qui est ça Razz )

---===---===---===---===---===---===---===---===---===---===---
Citation :

Chapitre 1


Huit, un, et deux. Une séquence de chiffres banale qui ne veut rien dire en soit, ou plutôt, une séquence qui pourrait tout dire. Ces symboles peuvent signifier n’importe quoi dans la mesure où on les transpose dans un contexte quelconque. Ceux-ci pourraient très bien se retrouver sous les doigts d’un facteur, alors qu’il dépose une lettre dans la boite de métal, d’un bâtiment affichant ces mêmes pictogrammes, où alors sur l’afficheur modeste d’une vielle dame qui attend impatiemment l’appel de son fils. Tantôt on les retrouve sur la facture appartenant à un homme qui a un peu trop dépensé, tantôt dans le livre d’histoire d’un étudiant. Parfois, ils se retrouvent dans un ordre différent. La plupart du temps, nous ne les voyons plus, ils sont invisibles. En somme, ce ne sont que des chiffres; c’est anodin, inintéressant.
J’ai les yeux rivés sur mon cadran lorsque le trait vertical du bas du dernier caractère se déplace vers la droite. Ce mouvement, aussi silencieux qu’il soit me procure l’énergie nécessaire pour retirer ma couverture et m’asseoir sur le bord de ma couche. La réflexion qui hantait mon esprit s’est envolée. Je me frotte les yeux, je regarde à gauche et à droite. Je pense à rien. Je pense plutôt ne penser à rien. En fait, j’ai l’impression de ne penser à rien, mais j’ai quand même l’impression que ma tête n’est pas inactive. Scratch that, je suis confus, point.
Je perçois à l’écran un léger mouvement du coin de l’œil. Celui-ci, par réflexe, se dirige automatiquement vers cette nouveauté. C’est bien ce que je croyais. C’est encore le dernier caractère qui s’est transformé. Cette fois, c’est la ligne horizontale du haut qui est devenue une verticale, et celle du bas qui est tout simplement disparue. Un peu de courage, pensais-je en soupirant, je dois me lever.
Après quinze minutes de niaisage, j’ai finalement réussi à me sortir de cet état second qu’est celui de l’éveil. Personnellement, j’ai toujours détesté cette sensation étrange qui se résume à cela : on reprend conscience, on se souvient des moindres détails de ses rêves, et bang, la minute suivante, tout s’est volatilisé. Dans cette situation, je me sens faible, impuissant, j’ai l’impression que ma mémoire me trahit, que je suis inférieur aux autres, bien que je sache pertinemment que ce n’est pas le cas. Ce manque au niveau de la mémoire est effectivement généralisé. Je le sais, mais je le redoute quand même. Il me fait réaliser que mon cerveau ne sera pas toujours aussi vif, et que dans quelques décennies, je n’aurai même plus assez de conscience pour détecter ces choses et me questionner sur celles-ci. C’est démoralisant, mais c’est la vie. Aussi bien en profiter pendant que je suis encore dans la fleur de l’âge. Enfin, aujourd’hui, je me souviens encore de quelques effluves de mon dernier rêve. Ce qui me parait étrange, si on considère que je suis debout depuis environs vingt minutes. Dans ce rêve, nous étions tous chez Daniel, enfin je crois. Marie me demandait pourquoi j’avais accepté une offre. Laquelle, je ne sais plus, faute de l’état second. Par la suite, nous avions décidé, Marc et moi, de croiser le fer devant la piscine pour une raison qui m’échappe depuis peu. Notre bataille s’éternisait, les autres, quand à eux, pleuraient à chaudes larmes à cause d’une histoire de perte de poids. Les parents de Daniel vinrent nous offrir de la dinde crue. Nous avions tous décidé de prendre une pause pour déguster ce repas qui me semblait très appétissant il y a encore quelques minutes. Après ça, plus rien, le néant. J’ai encore la vague impression que Nathalie avait un rôle très important dans ce rêve, mais je ne suis pas capable de la replacer nulle part. Peu importe, ça ne sert à rien de me torturer la tête avec ça. Dans une heure j’aurai tout oublié. Suffit de ne plus y penser. De toute façon, j’ai autre chose à faire de ma journée.

ђ

Je traverse le corridor d’un pas las. En pénétrant dans la salle de bain, un jet de lumière envahit instantanément mes yeux qui se plissent pour échapper au supplice. Malheureusement, trop tard pour eux. Je me dirige machinalement vers la douche. Après avoir ouvert le robinet, je dirige mon regard vers le miroir au dessus du lavabo. Un être d’environ six pieds se réfléchit dans la glace. Il est torse nu, vêtu d’un simple pantalon de nuit rouge et jaune. Avec ses courts cheveux blonds, ébouriffés, et ses yeux vert forêt, il a l’air un peu sauvage. Il a cependant l’air calme, inoffensif.
Je m’inspecte rapidement à la recherche d’une quelconque anomalie. Techniquement, tout me semble être à sa place. Je laisse tomber ce qu’il me reste de vêtements et je me glisse sous la douche. Nuage de vapeur.

ђ

La lumière du soleil pénètre dans le salon, laissant entrer une vague de chaleur réconfortante. Par la fenêtre du salon, j’admire le spectacle qui s’offre à mes yeux. La pluie des trois derniers jours a laissé un voile humide sur la flore qui orne mon voisinage. Les reflets de la lumière sur ces particules d’eau me laissent sans mot, je suis ébloui par cette beauté intangible. Quelques oiseaux téméraires s’aventurent sur le terrain de ma voisine à la recherche de quelques vers. Je pose mon regard sur le petit cèdre qui se trouve au milieu du terrain. Je sais ce qu’il va se produire, ce n’est qu’une question de temps. Alors qu’un oiseau est occupé à déguster un vers, un mince chat gris surgit de l’arbre rougeâtre et bondit sur lui. Même pas le temps de comprendre ce qui lui arrive. Le prédateur est devenu maître dans l’art d’embusquer ces naïfs volatiles. L’attaqué n’a désormais plus aucune chance de survie. Comme tous les autres qui sont passés avant lui. Ses congénères se sont envolés à la hâte, le laissant derrière, sans remords.
La scène ne me paraît plus aussi jolie, mais ce n’est pas cette vision morbide des choses qui va me gâcher cette journée que j’attends depuis plusieurs semaines. Aujourd’hui, vendredi 28 juillet, je quitte mon emploi de plongeur. Il était temps, je n’en pouvais plus de ce stupide restaurant avec sa foutue vitrine devant le grand évier de la cuisine. En gros, les plongeurs sont à la vue de tous. Je crois que c’est pour cette raison que tant de clients vont là hebdomadairement. Je ne compte plus le nombre de fois où mes amis – que je n’avais plus vraiment tendance à appeler mes amis ces jours là – sont venus se moquer de moi, en commandant un maigre café pour tout le groupe. Ne parlons même pas de la paye. Elle est des plus minables en comparaison de la charge de travail. Enfin, voila pourquoi cette journée est si réjouissante.
À la télévision, ils parlent d’un tremblement de terre qui aurait frappé un endroit nommé Tangshan il y a trente ans.
- 242 419 victimes on été recensé, faisant de ce tremblement de terre un des plus dévastateur de l’histoire. Certains experts affirment même que le nombre de morts est possiblement trois fois plus élevé.
Je ferme l’appareil. L’événement est terrible, mais le passé est le passé, et j’en ai vraiment rien à cirer de ce désastre. Je parais insensible? Tant pis. Je ne suis pas friand des gens qui restent scotchés sur le passé. Ce n’est sûrement pas un cataclysme vieux de trois décennies qui va me faire oublier mon bonheur imminent. Pour ça, il me faudrait au minimum la mort de deux bonnes connaissances, ou encore celle d’un être cher. Je ne crois pas que je vais être malchanceux à ce point aujourd’hui. En définitive, une belle matinée ensoleillée s’offre à moi.
Je ferme brusquement la porte. Une antiquité dans le sens péjoratif du mot. Je mets mes clefs dans mes poches et je me mets en chemin. Dans la cour, je tombe sur les restes de la victime que Pacha a traînée jusque-là. Je suppose qu’il s’en est trouvé une plus grasse. Enfin, pour le moment, je n’y touche pas. Pas le temps, et je n’ai pas envie de courir ce matin. Si je suis chanceux, Pacha reviendra lui-même la rechercher un peu plus tard. Trêve de suppositions, si je ne pars pas tout de suite, je serai en retard. Mais pourquoi ne serais-je pas en retard? C’est mon dernier jour après tout. J’ai toujours détesté les gens et l’endroit. Étrange. Je ne me savais pas si honnête. Enfin, je vais arrêter de me perturber l’esprit avec ces âneries. Perte de temps. C’est plus utile marcher. Ma tête n’en sera que plus légère.

©️ A.T.
Revenir en haut Aller en bas
Ilixol

Ilixol


Nombre de messages : 173
Age : 35
Date d'inscription : 12/05/2006

Mais qu'est-ce que!? Empty
MessageSujet: Re: Mais qu'est-ce que!?   Mais qu'est-ce que!? Icon_minitimeVen 16 Mar - 18:00

Citation :
ђ

Je n’ai même pas eu droit à un bonjour, ni même à un petit signe de tête. J’ai eu l’impression d’être totalement ignoré. Je n’en ai jamais fait tout un plat car ça m’arrangeait de ne pas être embêté par des futilités pareilles. Cependant, aujourd’hui c’est différent, c’est la dernière fois que je vois ces femmes – eh oui, je ne remettrai plus jamais les pieds dans ce trou pourri – et j’aurais bien aimé qu’elles me remarquent pour une fois. Étrangement, ça me fait un petit quelque chose qu’après tous ces mois, elles me perçoivent encore comme un simple plongeur quelconque. Eh puis, ce n’est pas comme si j’avais fait quelque chose pour récolter cette austérité déplacée. En fait, elles ont été froides avec moi depuis le tout début. Plus j’y pense, plus je me dis qu’elles deviennent toutes comme ça avec le temps. Selon ma théorie, à force d’être forcée d’avoir l’air joyeuse et épanouie, elles perdent toutes notions de ce que ces états veulent vraiment dire. Sept dollars l’heure, c’est tout ce qu’elles reçoivent, et malheureusement, je ne crois pas que cela couvre tous les dommages psychologiques causés par cet emploi sordide. Qu’est-ce qui pousse alors ces femmes à continuer, les pourboires sont-ils aussi payants que ça? De toute façon, j’y peux rien, si elles veulent mettre en danger leur stabilité mentale, c’est leur choix. Personnellement, si c’était à refaire, je reprendrais assurément mon poste de plongeur. C’est crade, oui, mais je n’ai pas besoin d’avoir l’air jovial lorsque j’ai juste envie de frapper quelqu’un. Je me reprends, je n’ai pas besoin d’avoir l’air jovial, sauf bien sur quand je suis devant l’évier, lorsque j’ai juste envie de frapper quelqu’un.
Mis à part cela, la journée s’annonce horrible. Je suis au restaurant depuis quelques minutes et celui-ci est déjà plein. Deux couples ont même été obligés de s’en aller car il n’y avait plus de place. Comment je le sais? C’est simple, ils étaient dans mon champ de vison, commodité d’une fenêtre avec vue panoramique sur client. En gros, j’ai l’impression qu’on a averti tout le monde – sauf les serveuses – que c’était mon dernier jour, et qu’on s’est passé le mot pour me faire suer en grande une dernière fois. Même la grosse Poitras s’est pointée, chose qu’elle ne fait jamais le Vendredi. Sa présence m’annonce que dans environ une heure, je vais avoir droit à une scène particulièrement dégoûtante. À chaque fois qu’elle termine son déjeuner, elle pose les yeux sur moi jusqu'à ce que je lève les miens et elle se met à lécher son assiette tout en me regardant avec un de ces airs vicieux que seule elle est capable de recréer. Juste à y penser j’en ai des frissons et hauts le cœur. J’espère seulement que ce sera rapide et sans douleur cette fois. Cette dernière fois.
Je bassine, je récure, je dégraisse, j’arrose, je savonne, je frotte, je lave, je rince, je relave, j’essuie, je sèche. La vaisselle salle s’accumule, je ne fourni tout simplement pas. Côté technologie, le restaurant n’en a pas, alors techniquement, je dois tout me taper à la main et la pille à laver ne fait que grossir. J’en ai marre, je ne sais même pas comment j’ai pu tenir le coup tout ce temps. Il n’est même pas encore onze heures et je n’en peux plus. Heureusement pour moi, deux serveuses ont décidé de prendre leur pause et de venir papoter juste derrière moi.
- T’as vu le gars à la table sept? C’est un méchant pervers, y’a échappé sa cuillère par exprès pour essayer de regarder en dessous de ma jupe.
- Parle moi en pas, ça fait au moins quatre fois qu’y me demande d’aller remplir son café, pis à chaque fois y’a toujours les yeux rivés sur ma poitrine.
- J’en reviens vraiment pas comment y’a des pervers qui viennent ici juste pour se rincer l’œil.
- Ouais bin, on n’a pas l’choix de dealer avec ça. Anyway, comment ça va avec ton chum ses temps-ci ?
- Bah, tu sais, c’est encore un…
Bon, à ce moment là j’ai décrocher, la conversation n’a pas tourné dans le sens que je voulais finalement, et entendre parler du chum de Justine, non merci. De toute façon, j’ai l’impression de le connaître plus qu’elle à force d’en entendre parler. Je suis certain que sa discussion va encore tourner autour du fait qu’il sort beaucoup avec ses amis, qu’il ne l’écoute plus autant, et qu’elle le sent plus distant depuis quelques semaines. Parfois, elle est sur le bord des larmes, parfois sur le bord de la colère, mais le résultat est toujours le même. La pause se termine et elle repart comme si de rien était après avoir vérifié son maquillage. Quand je suis chanceux, elle raconte à l’autre ses malheurs et ses problèmes au lit. Dans ce temps-là, je me régale, c’est fou comment c’est amusant se délecter des maux qui affligent les gens que l’on aime pas. C’est méchant, insensible même, mais j’y peut rien si ça me diverti. Eh puis, c’est clair qu’il ne l’aime plus, il a probablement déjà une nouvelle conquête mais ça madame n’est pas capable de le voir. Enfin, ce n’est pas vraiment mon problème, c’est ma dernière… Ah ouach, la grosse Poitras s’y remet.

ђ

Six heure cinquante-sept. Moment d’extase. C’était finit. J’ai levé les mains dans les airs laissant tout bonnement les dernières assiettes couler au fond du lavabo. Après avoir savouré ce court instant, j’entrepris de me débarrasser des mes gants et de mon tablier, projetant ceux-ci dans un panier situé juste à ma gauche. L’instant présent me semblait jouissif. Je voulais partager ce bonheur intense mais il n’y avait personne avec qui j’aurais pu le faire. Je n’avais plus rien à gagner ici alors je suis sorti, silencieusement certes, mais je suis certain que les gens j’ai croisé ont pu voir la joie qui habitait mon visage. Comme je l’avais prédit, je n’ai pas eu droit à un seul au revoir – ou même à un adieu d’ailleurs – mais bon, ce n’est pas comme si ces personnes ingrates allaient me manquer.
J’étais finalement dehors. J’avais l’impression d’être un prisonnier qui sort de sa geôle après 25 ans de réclusion. J’étais libre, enfin libre, maître de mon propre destin. L’air me paraissait déjà plus pure – moins graisseuse du moins – et le soleil me procurait un bien être très reposant. Je me tenais droit, les yeux clos, prenant de profondes respirations. Je serais resté à cet endroit des heures, simplement pour profiter de cette profonde sérénité.
- Baptiste, t’as oublier ta chemise.
J’ouvris les yeux et tournai la tête d’un mouvement las. C’était Justine, tenant la une chemise à carreaux rose et jaune dans une main, et retenant la porte du restaurant de l’autre. Je fronçai les sourcils avant de lui répondre sur un air quelques peu incrédule.
- Tu penses vraiment que c’t’affaire là est à moi? Come on, j’ai quand même un minimum de classe.
Elle haussa les épaules avant de retourner à l’intérieur. Elle était sortie pour essayer de me refiler une horreur, tant qu’a y être elle aurait me dire salut en passant. J’ai donc décidé de prendre le chemin du retour, de peur d’être encore confronté à ce que j’appellerai désormais mon passé cruel et déchirant de plongeur. Ça ferait un bon titre de roman, non? Peut-être que plus tard, quand les plaies se seront refermées, j’entreprendrai le récit de cette épopée dramatique.

©️ A.T.

---===---===---===---===---===---===---===---===---===---===---

Le forum ne permet pas vraiment de mise en page donc je comprend que c'est laid mais bon. Enfin, j'Attend vos commentaires. Razz


Dernière édition par le Ven 16 Mar - 18:03, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Ilixol

Ilixol


Nombre de messages : 173
Age : 35
Date d'inscription : 12/05/2006

Mais qu'est-ce que!? Empty
MessageSujet: Re: Mais qu'est-ce que!?   Mais qu'est-ce que!? Icon_minitimeVen 16 Mar - 18:01

[ Post réservé pour plus tard ^_^ ]
Revenir en haut Aller en bas
Sihayia 'Aléa'

Sihayia 'Aléa'


Nombre de messages : 258
Age : 33
Localisation : A la taverne, pardi !
Date d'inscription : 16/07/2006

Mais qu'est-ce que!? Empty
MessageSujet: Re: Mais qu'est-ce que!?   Mais qu'est-ce que!? Icon_minitimeVen 16 Mar - 19:27

J'adore ton style ! C'est direct et franc, voir même froid, mais c'est ce qui fait son charme !

Mis à part deux petites erreurs ( "vaisselle salle" et "pille" qui n'ont qu'un L ), je n'ai rien à dire.

J'attends la suite . Like a Star @ heaven
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Mais qu'est-ce que!? Empty
MessageSujet: Re: Mais qu'est-ce que!?   Mais qu'est-ce que!? Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Mais qu'est-ce que!?
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Non mais ..
» Désolé mais...
» Ce n'est pas un départ mais un Stand By!
» Reparti, encore, mais pour de bon
» Là, mais pas dans tous ses moyens... !

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Forum d'Hildrim :: Section Créations Diverses :: Créations artistiques-
Sauter vers: