Depuis déjà quelque jours certain Hildrimois
purent remarquer l’absence de la discrète ’bégayeuse‘ dans sa cité. De
plus, plusieurs semblaient vouloir la rencontrer puisque selon les
rumeurs elle avait littéralement des doigts de fées.
*La Nébulix
ce levant encore aujourd’hui très tôt dans ce lieu, bien que
accueillant il lui semblait toujours si peu familier. Elle suivit
doucement les moines dans leurs taches matinales. Même si elle restait
en retrait elle se sentait encore si peu alaise d’accepter au temps de
gentillesse de la part de Monseigneur Louen. Revenue dans se qui était
devenue sa chambre elle prit une missive et commença doucement à
écrire.*
Citation :
Begzi Sieur Lesvattias...
« Comment en était t’elle arriver la ? »
Il
y a de cela quelques jours elle venait rendre visite a ses nébix. Dès
sont arriver la Nébulix se sentait mal à laisse de par le nombres de
gens l’entourant. Elle perçu un discours bien étrange de part sa nature
curieuse elle s’avança doucement. Sire Arthes, du moins à cette époque,
mettait en garde un jeune homme de ne sortir sous aucun prétexte la
blanche citée. La raison de cette misa en garde lui fit froid dans le
dos. Les Narsilions étaient revenue dans Teilia n’ayant pas connue ses
êtres elle osait se renseigner sur eux après avoir expliquer leur force
Zack lui recommanda de ne plus sortir de Citria.
Tremblante
encore de peur elle rencontra Morgane quelque heurs plus tard. Sa
nébix, pour la rassurée, lui offrit d’aller voir sont oncle,
Monseigneur Louen, dans sa grande générosité il lui offrit le gîte dans
la cathédrale elle devait que se conformer à la vie de moines.
Quelque
jours plus tard voyant que la jeune Nébulix s’accordait bien avec son
nouveau rythme de vie, Louen offrit à Misa de l’appuyer dans sa
démarche de citadinité. Misa qui ne désirait pour rien au monde
décevoir la personne l’ayant aider et de plus la jeune femme aux
allures féeriques n’avait pas la confiance en elle pour même oser
objecter. Dons elle accepta avec grand plaisir que l’on puisse vouloir
d’elle semblait lui faire chaud au coeur.
*Reprenant
doucement sa plume elle évoquât doucement les raisons qui la poussait a
rester dans la blanche citée d’odéon puis, alla doucement porter la
lettre à la diplomatie de Citria.*
(hrp)
Ps: désoler pour le délai par rapport au jeux