C'est lors d'une soirée bien arrosée que Zolian fit signe au musicien autour de la tablée, d'ainsi son instrument accorder et commencer à gratter.
Prisonnier de sa volonté de s'exprimer, sur une chaise il finit par monter, pour ainsi réciter, un poème qu'il avait récemment rédigé.
L'hymne à Hildrim,
Là où les rues sont parfois plus silencieuses qu'un mime.
Là où la joie de vivre
Surpasse de l'hiver le givre.
Là où l'envie de s'amuser
Nous fait presque danser.
Là où les conaissances
Se font d'abondances.
Là ou le talent
On le retrouve aisément.
Hildrim c'est mon coin à moi,
Si tu veux, je peux y rester avec toi,
Car de tout les villages
C'est ici notre vrai visage.
Là beauté dont Hildrim peut regorger
Et tout les mystères qu'elle peut nous réserver.
La ville étoilée,
C'est ici que je veux rester.
Nébixs et Nébixes restons soudés
Et avec tact les problèmes à venir affronter!
Puis, visiblement à bout de souffle, il reprit place auprès des autres, prenant une bonne gorgée de ce qu'il avait commencé..
[HRP: J'invite ceux qui le désirent à continuer quelques vers ou rimes sur le thème d'Hildrim]